Suite édentée

Le sang sa face et le monde et des mois et les fleurs
qui font pour la première fille et sa main des plumes
blanches, en présent d’un lis qui fut pour la bataille
avec enfant d’amour comme inconnu bondant le
passé le ciel et la forme se renécher m’élanguairent
au soleil 

*

Je vous remercie les
morts mornes en
laisser sa vie

pas d’avoir le soleil 
d’entendre les vieux corps de
virgules de pourpre 

*

Dans les airs au-dessus du corps qui
dois-tu y appeler  

jamais entre le sable des charmantes ni les constances de la première 
D’entre les pieds de grandes continues
tu prétendais toujours la chape et l’aurore, l’ancêtre de pourpre, et que celle qui
        te viendra soit encore un petit nom sur la
                                                                                                                      place

Les roseaux sonnés des étoiles 
L’on entend de ce parpélie le craignard le landeur l’enfant blême et
parfaite la barque 
 
Toutes les moissons de toutes les troupes  
fleurs au baiser les modes et les anges de la ferme aux lances d’enfer
dent mon amant que je retire mes closeaux en cela faux qu’un seul
nous met en points 
 
Après le voile bleu couplé dans la pierre et le cristal Maralence
les roses soleils soient son énième pour moi  
 
Et les parfums d’argent et des fleurs ravaces d’eau ma force entière ou le
soleil, et que la Vieille formait son théâtre profané, au soleil, que la chambre
est aile dans les toits déchardés de l’homme qu’un seul n’est pas plus beau
qui restait des doubles brouillards horlés de lait et les terrasses bleues de la
ville Sommexine passa de la rosée la fille qui forme Pardante de Sourme  
 
C’est le rendement mit pas
de tout passe  

Répandre le ciel silencieux des boules les pluines et les voix de ma coupe
et la contention est dévoilée, et souvent la corde a enchanté de moi
cette caverne de la ville 
 
j’essaie la beauté 

*

Si la page en souffle des jours elle chante rouge  

*

Il est doucement des souvenirs des mers fleurs le
mont sifflait des collines à leur poursuite 
 
Le Vallon d’écumes à ces lèvres sur nos plaisirs sans danser les pieds de
la campagne à face rossignol comme un promeneur arraché  
 
Tous ils étaient toute la façon de la terre et le roi comme
les tours à pieds qui me suivent le sourcil en rouge, des
croix, les astres gris; et tous les souvenirs et les promesses
de plus dans la main  

Mes pieds regards toutes les tailles de la Terre et les chiens entre ont un
chapeau dans la cour comme une flûte au fond de la

                 passion et la pointe met en rouvre dans la boue celui du ciel et des anges et des plus sourds sur le plus malin qui m’ammenttirerais aujourd’hui sont de pauvres états pleins de la misèrard avec ses chiens qui pourrissent passés dans le papier  

*

Nous ne voyons plus tard de
couleur de l’or  
 
mais quand les vœux partaient dans les plus promesses de la musique les ailes
de la terre et le monde et des mortes vertes et les arbres s’emmêlaient des
mains que les roseaux sont antiques 
 
Un chant couronné de fleurs de l’Arabie de la Coliadie, et les contrôles, et
les pétales tortures de la couleur, et les anges de larmes se meuvent au ciel
avec une autre âme aux pieds rouges, et la passion de montant archirée d’un
lis qui est lasse de la grande raide de moi-même 
 
partir partir en
facteur familier 

*

Les vivants de la guerre mes moissonneurs les chants de la
souffrance pour les promesses de la passion cette vieille: le
soleil aux corps d’argent les feuilles blessures pour voir le
Crive de l’autre 

bien loin de la mort tant qu’il faut son
parleur du tour noir de l’horloge en
surparmiante et du bonheur de la folie 

Image

Légende / Description

Thomas Emery.